Le virus de l’hépatite E : point sur le risque transfusionnel - 24/11/21
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Alors que la majorité des infections par le virus de l’hépatite E (VHE) dans le monde survient après transmission hydrique ou alimentaire, un nombre croissant d’hépatites E d’origine transfusionnelle est observé dans de nombreux pays. De très nombreuses infections sont asymptomatiques et spontanément résolutives. Cependant, les personnes immunodéprimées, notamment les transplantés d’organes solides et les receveurs de cellules souches hématopoïétiques, peuvent développer une hépatite chronique pouvant rapidement évoluer vers une cirrhose. Par ailleurs, les personnes ayant une hépatopathie chronique pré-existante peuvent présenter une décompensation hépatique associée à une mortalité élevée. En France, 23 cas ont été répertoriés entre 2006 et 2016 dans le cadre d’une étude rétrospective. En 2019 et 2020, 7 cas ont été documentés chez des personnes immunodéprimées. Les produits impliqués étaient des mélanges de concentrés plaquettaires, des concentrés de plaquettes d’aphérèse et des concentrés de globules rouges. Depuis l’introduction en 2013 d’un dépistage génomique du VHE chez les donneurs de plasma destiné à des personnes à risque de formes sévères, aucun cas d’hépatite E transfusionnelle impliquant du plasma n’a été identifié. Les tests disponibles ainsi que les stratégies envisageables chez les donneurs et les receveurs pour améliorer la sécurité transfusionnelle vis-à-vis du VHE seront discutés.
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Vol 28 - N° 4S
P. S12-S13 - novembre 2021 Regresar al númeroBienvenido a EM-consulte, la referencia de los profesionales de la salud.
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